LA RELATIVITÉ DES DROITS DE L'HOMME

Publié le par christianroland


La question des droits de l’homme est toujours au cœur de tous les débats au plan international. Que signifient véritablement les droits de l’homme ?

Les droits comme on n’a l’habitude de l’entendre est les droits inhérents à la personne humaine. Tels que le droit fondamental est le droit à la vie, le droit d’éducation, le droit de s’alimenter etc. En effet les droits de l’homme admettent plusieurs principes à savoir le Non Discrimination, Egalité, la Participation, l’inclusion, le respect de l’homme et des droits…

 Les textes internationaux relativement au droit de l’homme sont nuls car toutes les dispositions ne sont pas mises en application. Les faits des droits de l’homme pour comprendre en quoi ceux-ci pouvaient effectivement prétendre à l’évidence. Toutes fois le constat des faits de la réalité de chaque jour refuse au nom des critiques diverses des droits à des millions d’êtres humains la finalité des droits humains.

Que l’article premier de la déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 « tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droit ».

Soit un demi-siècle après son adoption quotidienne démentie par les faits est en triste réalité comme les SDF et sans papiers, femmes vouées à la soumission dans certains pays ou peuples miséreux du monde. Les exemples abondent à opposer l’idéal d’universalité dont se réclame le modèle occidental. De sorte que s’il y a pouvoir de s’imposer dans les instances internationales qu’il  contrôle, ce dernier doit faire face à la contestation des minorités qui, en refusant d’adhérer ses valeurs portent, sur le plan idéologique du moins, un sérieux préjudice à la prédominance. Les droits de l’homme constituent t-ils en somme une évidence ou un problème ?

 Le principe moral régisseur de nos sociétés modernes et qui aspirent à prendre en charge la grande famille de l’humanité trouve t-il sa légitimité dans la nature, s’imposant par là à l’esprit de la certitude absolue, ou en définissant au contraire une difficulté d’ordre spéculatif, prête t-il a discussion ?

A quoi renvoie tout d’abord le concept des droits de l’homme ? Son origine historique et l’esprit dans lequel il a été élaboré doivent mettre en lumière dans un premier temps  la vocation à l’universalité qui lui confère sa seule définition toue entière du coté de la réflexion théorique ? Cependant celle-ci trouve telle une application aussi inconditionnelle dans les faits ? La réalité des sociétés humaines n’imposent t elle pas les limites à cette vision trop européocentrisme annihilant toute croyance en une vie humaine ?

 Quel avenir envisager alors par delà les difficultés par les difficultés par des droits relevant d’une histoire universelle ?

L’enjeu de notre question est de taille dans le processus de la constitution « d’un vaste village planétaire ». C’est l’ensemble de nos relations planétaire à autrui qui se trouve remise en cause, l’heure ou un nombre croissant d’instances supra nationales tentent de redéfinir à l’échelle cette fois de l’humanité un nouveau contrat social.

Pourquoi plusieurs Etats émettent des réserves concernant l’application de certaines dispositions des textes relatives au droit de l’homme en général ? On répondrait comme ca que c’est parce que ces dispositions violent certaines lois de leur constitution. Mais moi j’envisage tout avec réalisme car on s’engage à part entière pour la protection des droits de l’homme. Par conséquent si l’Etat viole ces dites dispositions alors il sera lavé de toutes fautes sous prétexte qu’il a émis des réserves. C’est le cas des reverses émises par la France et plus d’autres pays de l’occident.

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